“Voilà un jaguar étonnant ! Je ne suis pas prophète mais j’ai une certitude inaltérable: tu tiens là un très très très bon livre !”
“J’ai lu ton manuscrit avec énormément de plaisir. J’aime tes mots, tes phrases, je m’émerveille de ton talent pour faire naître des images sur le papier… Bravo”
“Une légende maya, le Chiapas, les Lacandons… et le sous-commandant Marcos. Une réalité occidentale, les sans-abri, l’obésité et le droit à la différence. Mais aussi des pages sublimes sur la relation cheval-cavalier…”
C’est vraiment un très beau, très bon roman. Admiré la maîtrise du style et de la construction.
“Un grand coup de chapeau pour ce dernier roman « La prophétie du jaguar » ! Très « accompli », très jolie écriture, évasion, humour et émotions…”
Adoré ! Suspendu la lecture des dernières 10 pages, toujours triste de terminer un beau livre
“J’ai beaucoup aimé votre livre! J’avoue avoir été étonné par votre maîtrise, alors qu’il ne s’agit là que de votre troisième roman: indéniablement vous savez raconter une histoire, mener parfaitement la narration, entrecroisant les séquences et les divers points de vue des personnages (vous glissant aisément dans la peau de vos personnages masculins), préservant le suspense et la nécessaire tension dramatique (cavalière confirmée j’imagine, sachant tenir aussi bien les rênes d’un récit…), à l’aise également dans l’humour et l’émotion… Votre roman est aussi porteur d’une réflexion profonde, d’une interrogation toute philosophique (et psychologique) sur le choix de chacun face à sa propre destinée, voulue ou subie. « Le destin bat les cartes, mais c’est nous qui jouons », disait joliment Bernard Moitessier (navigateur solitaire). Vous mettez vos personnages face à leur responsabilité, et par résonance vos lecteurs peuvent interroger la leur… Bravo, vraiment, et merci pour le plaisir profond donné par la lecture de ce livre ! Bref, nous voici devant une écrivaine, une vraie, qui n’a pas fini de nous étonner ! Continuez donc longtemps de nous enchanter, c’est tout le bien que je vous, et nous, souhaite…”